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le 17 janvier 2024 |
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L’Enfance missionnaireSommaire : Semeurs d’étoiles 6 janvier 2008. Accueillons Jésus dans le monde Journée missionnaire à Choubra - Le Caire La Journée mondiale des Enfants missionnaires, 2007 L’Enfance Missionnaire auprès de Thérèse vous attend… Le mot de Sandra Mazzanti
Semeurs d’étoilesLes enfants de Formosa (Argentine), sont sortis dans les rues !
Noël est tout proche ! Qu’allons-nous faire ?
Offrir des étoiles qui illuminent le chemin de ces enfants, des jeunes, des parents, en vue de renouveler l’Espérance et la joie que nous offre cette fête de Noël, telle fut cette belle initiative. Les enfants de Côte d’Ivoire se présentent à tous les enfants 6 janvier 2008. Accueillons Jésus dans le mondeEn la Journée mondiale de l’Enfance missionnaire, Benoît XVI a rendu hommage à cette initiative de l’évêque français Charles de Forbin-Janson, qui a vu le jour il y a 160 ans. « L’Enfance de Jésus, disait le pape, est devenue l’icône de l’engagement des enfants chrétiens qui, par la prière, le sacrifice, et des gestes de solidarité, aident l’Eglise dans sa tâche d’évangélisation ». « Des milliers d’enfants, insistait Benoît XVI, viennent en aide à d’autres enfants dans le besoin, poussés par l’amour que le Fils de Dieu, fait petit enfant, a apporté sur la terre ». « Je dis merci à ces petits enfants et je prie pour qu’ils soient toujours des missionnaires de l’Evangile », encourageait Benoît XVI. Il ajoutait, à l’adresse des adultes qui encadrent l’Å“uvre : « Je remercie également leurs animateurs qui les accompagnent sur la route de la générosité, de la fraternité, de la foi joyeuse qui engendre l’espérance ». La Journée mondiale de l’Enfance missionnaire a pour thème cette année : « Accueillons Jésus dans le monde ». Cette journée a été voulue dès 1843 par Mgr Charles de Forbin-Janson, et elle a été ratifiée par le pape Pie XII en 1950. Sans discrimination de race, culture, ou religion, les enfants de l’Enfance missionnaire participent à des projets en faveur de millions d’enfants qui vivent dans le besoin. L’Å“uvre pontificale de l’Enfance missionnaire, présente dans 150 pays, aide les enfants et les adolescents à « prendre conscience de leur vocation chrétienne », pour devenir « des membres actifs dans la vie de l’Eglise et du monde », et développer le sens de leur « responsabilité » pour la solidarité universelle. Mgr Charles de Forbin-Janson (1785-1844) fut évêque de Nancy et de Toul et primat de Lorraine. Il mourut d’une hémorragie pulmonaire à son retour d’une mission à Constantinople, en 1844, à Marseille, chez son frère, le marquis de Forbin-Janson, alors qu’il se disposait à partir pour la Chine. Il venait en effet de fonder l’Å’uvre de la Sainte-Enfance pour le baptême d’enfants chinois. Né à Paris en 1785, il était le fils du comte de Forbin-Janson, et de la princesse de Galéan. Après des études à Paris, il fut d’abord militaire, puis auditeur du Conseil d’État de Napoléon Ier. En 1806, il était auditeur au Conseil d’État, lorsqu’il décida de renoncer à la carrière administrative pour entrer au séminaire. Et il fut ordonné à Chambéry en 1811. Il fut ensuite nommé supérieur du séminaire de Chambéry et grand vicaire de l’évêque de Chambéry (1811-1812), puis vicaire et catéchiste à Saint-Sulpice de Paris (1812-1814), et membre et co-fondateur de la congrégation des Pères de la Miséricorde (1814-1824), dont les statuts furent approuvés en 1815. En 1814, il organisa, avec Jean-Baptiste Rauzan, l’Å“uvre des missions, et se fit prédicateur de retraites en France (1814-1824). En 1817, il fit aussi un pèlerinage de Terre Sainte. C’est en 1823 qu’il fut nommé évêque de Nancy et il reçut l’ordination épiscopale à Paris, en 1824. Mais son zèle lui attira des ennemis et lors de la révolution de 1830, il dut quitter son diocèse. Le palais épiscopal fut brûlé par les insurgés. Il s’exila en Allemagne (1830-1831), en Suisse (1831), en Italie (1831-1832) puis à Nancy (1832-1839). Il eut alors aussi l’occasion de faire un voyage aux États-Unis (1839-1840) : il installa les Pères de la Miséricorde à Spring Hill près de La Nouvelle-Orléans, en 1839. Puis il s’embarqua pour prêcher également au Canada. En septembre 1840, il devint vicaire général du diocèse de Montréal et il prêcha la première retraite ecclésiastique du clergé de Québec en 1841. Il offrit 24 000 francs pour subvenir aux frais de retour des exilés politiques canadiens. Revenu en France, il se rendit à Rome où, le 2 avril 1842, il fut nommé prélat de la maison pontificale, assistant au trône papal et comte romain. Ses derniers voyages furent en Angleterre et en Irlande pour venir en aide aux déportés canadiens de 1837, et, en 1842 également, en Australie, et en Belgique en 1843. Anita S. Bourdin Journée missionnaire à Choubra - Le CaireLe dimanche 4 Mars 2007 nous avons participé à une journée missionnaire à la paroisse Saint Marc de Choubra. Dès le début, notre rencontre a été placée sous le signe de la diversité. Plusieurs filles soudanaises de la paroisse de Zeitoun ; quelques filles de notre école ainsi que d’autres jeunes de la paroisse qui nous accueillait, donnaient déjà un climat missionnaire. Le thème choisi était : "Nous sommes des enfants missionnaires. Comment vivre la mission en respectant et en accueillant l’autre différent de moi ?".
Nous avons commencé la journée par une prière. Une des animatrices nous a fait réfléchir sur le texte de 1 Corinthiens 12, 12 : ’Vous êtes le corps du Christ’ avec l’aide d’une image réalisée par les enfants. À partir de diverses activités en groupe, les enfants ont réfléchi sur l’importance d’apprendre à vivre la différence de cultures et de nationalités comme une richesse qui aide à approfondir la foi. Ils ont vécu cette journée comme une invitation à dépasser les barrières de la peur et les difficultés pour accueillir l’autre. Comme animation, le théâtre et les chants au rythme du tam–tam n’ont pas manqué au rendez-vous. Nous avons clôturé la rencontre par une messe où les enfants ont pris l’engagement de bâtir l’Eglise dans le respect, l’unité et l’accueil de l’autre différent de moi. Soeur Sandra Mazzanti et les élèves de Notre Dame des Apôtres, Zeitoun, Egypte. La Journée mondiale des Enfants missionnaires, 2007Elle est célébrée le dimanche 7 janvier 2007. « Il s’agit de la fête des enfants chrétiens qui vivent dans la joie le don de la foi et prient afin que la lumière de Jésus parvienne à tous les enfants du monde », a affirmé le pape Benoît XVI à l’occasion de la prière de l’Angélus, ce samedi. « Je remercie les enfants de l’"Enfance missionnaire", présente dans 110 pays, car ils sont de précieux coopérateurs de l’Évangile et apôtres de la solidarité chrétienne envers les plus nécessiteux », a-t-il ajouté. Benoît XVI a encouragé « les éducateurs à cultiver l’esprit missionnaire chez les petits, afin que naissent parmi eux des missionnaires passionnés, témoins de la tendresse de Dieu et annonciateurs de son amour ».
L’Enfance missionnaire est une Å“uvre du Saint-Siège créée au sein des Å’uvres pontificales missionnaires pour éveiller chez les enfants le désir d’être des missionnaires, de venir en aide aux autres enfants aussi bien en leur enseignant à prier qu’en les soutenant sur le plan matériel. L’œuvre, fondée en 1843, soutient également les éducateurs (parents, catéchistes et professeurs) dans leur tâche d’éduquer les enfants à la dimension missionnaire universelle. L’Enfance missionnaire a notamment lancé l’initiative des « Chanteurs à l’Étoile ». Les enfants proposent à d’autres enfants de suivre l’étoile comme les mages et les bergers pour se prosterner devant l’Enfant-Dieu, puis aller annoncer la Bonne Nouvelle par des chants dans leur quartier ou leur village. Les enfants passent de maison en maison, costumés en mages ou en bergers, pour chanter la joie de Noël et bénir les maisons et leurs habitants. Cette bénédiction peut prendre la forme d’une phrase, d’une inscription laissée sur le mur ou d’une étoile offerte. Les enfants peuvent par ailleurs offrir une partie de leurs économies à l’Enfance missionnaire qui soutient chaque année environ 4000 projets en faveur des enfants les plus nécessiteux dans le monde. Le 29 avril 2006, les directions nationales des Å’uvres pontificales missionnaires du monde ont remis au Fonds universel de Solidarité de l’Enfance missionnaire la somme de 21.658.607,42 euros (environ 28.170.000 US dollars). ZF07010602 L’Enfance Missionnaire auprès de Thérèse vous attend…À l’occasion de la semaine thérésienne à la Fondation d’Auteuil à Paris, l’Enfance Missionnaire a organisé 6 ateliers pour inviter les enfants et les adolescents à venir découvrir la mission. Différents témoins de la mission d’ici ou d’ailleurs ont aidé par des jeux, des dessins, des chants et leurs témoignageÀ les jeunes à réfléchir à leur propre appel à la sainteté !
Le mot de Sandra MazzantiÀ tous les enfants du monde, "toujours amis" !
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